Le succes du Caramel de Nadine Labaki coule encore dans les memoires. A l'epoque de sa sortie, a la rentree 2007, il partageait l'affiche avec The lost man, realise par Danielle Arbid, une autre libanaise. Un plaisir pour les passionnees du cinema tout droit venu du Moyen-Orient. Un plaisir qui, chez moi, a souleve une interrogation: etonnant de voir que deux realisatrices se demarquent d'un pays ou l'emancipation des femmes restent pour le moins...