Rien n'est plus n glig que l' ducation des filles; le plus souvent la coutume et le caprice y d cident de tout... Il est vrai qu'il ne faut pas les pousser dans des tudes dont elles pourraient s'ent ter... Mais n'ont-elles pas remplir des devoirs qui sont les fondements de la vie humaine ?... Mais les hommes peuvent- ils esp rer pour eux-m mes quelque douceur de vie, si leur plus troite soci t , qui est celle du mariage, se tourne en amertume...