Les d sirs de P -Kang sont infinis comme l'horizon dans lequel plonge son vague regard, ses pens es nombreuses ainsi que les grains de sable du lit des fleuves. Voudrait-il voir descendre d'un palanquin de noces dans son palais solitaire quelque vierge aux cheveux d' b ne, aux pieds semblables ceux des tortues dont l' caille pr dit l'avenir ? Non. L'amour n'a pas encore touch de son aile le coeur de P -Kang. Les honneurs attach s aux charges...