"...Il se sentait attir , plus particuli rement, vers la personne de l'Empereur. L'Imp ratrice l'avait fascin ; mais elle demeurait la souveraine, un tre hors race, o la femme disparaissait dans la splendeur du rang. L'Empereur lui apparaissait plus humain. Il e t voulu pr venir un de ses ordres, le secourir dans le danger. Le beau nom de Napol on avait exerc , sur son enfance, un pouvoir irr sistible, et derri re le C sar d'aujourd'hui, il apercevait...