Je me rappelle une soir e que j'ai pass e Cambridge avec George Eliot, dans le jardin des fellows de Trinit , un soir de mai o il pleuvait. Elle, un peu plus exalt e que de coutume, avait pris pour texte ces trois mots souvent employ s pour rendre du coeur aux hommes: Dieu, l'Immortalit , le Devoir. Terriblement et passionn ment s rieuse, elle montrait comment le premier de ces objets tait inconcevable, le second inadmissible et cependant comment...