" En inaugurant la longue et charmante s rie de ses Parall les par le double r cit de la vie de Th s e et de Romulus, le bon vieux Plutarque prouve quelque embarras justifier une pareille association de deux h ros: il ne sait leur d couvrir que des traits de ressemblance bien vagues en somme et peu concluants. A la force ils ont joint l'intelligence; tous deux ils ont enlev des femmes, et pas plus l'un que l'autre ils n'ont t exempts de chagrins...