Chez nous, beaucoup savent le latin; quelques-uns, le grec; tr s peu, le vieux fran ais. Dans la lecture ascendante vers les origines de notre langue et de notre litt rature, on s'arr te g n ralement au XVIe si cle; Montaigne, Amyot, Rabelais, Marot, sont la limite qu'on ne franchit gu re. Ce n'est qu'un petit nombre qui arrivent jusqu' Froissard, les d lices de Walter Scott, et le cercle se r tr cit encore quand il s'agit des histoires de Joinville...